BOURBON – Light Motion
PLEASURELOVE – Leopard
80s Stallone – Out of the water
MITCH MURDER – Glass Cities
SEAHAWKS – Cruisin’
LAZER CAT – Eurosoul
Ca devient une habitude, lorsque Pyramid balance de nouveaux sons, nous les publions directement. En même temps il faut avouer que c’est très bon et je n’ai jamais encore été déçu (alors que d’habitude ça m’arrive souvent).
J’arrête de dévoiler publiquement mon amour et je vous laisse écouter la relève !
ICI, pas d’inquiétude, ce lien renvoie vers Bandcamp 😉
Puis n’oubliez pas de télécharger l’EP gratuitement ou au prix que vous voulez, ça fera plaisir à votre iPod !
On The Fruit Records vient de balancer le nouvel EP de Chrome Canyon: Body Music! J’étais en train de désespérer de trouver quelque chose à me mettre sous la dent pile au moment où je tombe dessus.
Les 2 morceaux originaux sont très bon (les remixes aussi) et me font penser à des groupes totalement décalés (mais excellent) de la fin 70 et 80 comme Rockets ou Kraftwerk ! Hé oui rien que ça.
Si vous êtes amateur de French Touch – si vous êtes Francais et sur ce blog, vous l’êtes sûrement – je vous conseille d’écouter les nouveautés de Monsieur Adi !
Il y a d’abord un nouveau single accompagné d’une bonne poignée de remixes
Mais il y a aussi un morceau en exclu de l’Ep Fire Fire Fire qui sortira le 20 février sur le label parisien Technofavrik.
Tout commence par cette ouverture mélancolique où un synthétiseur planant nous (re)plonge au beau milieu d’un coucher de soleil orangé des années 80. Le deuxième morceau arrive avec un rythme plus breaké mais le tout reste très frais, ma tête commence à se secouer !
Quatrième morceau, l’arpégiateur est en route, je suis fan ! L’ambiance est glacial, je m’imagine une virée en testarossa (rien que ça).
Baakta V? une guerre aurait-elle débuté? Quoiqu’il en soit nous sommes forcé à s’engager et à rejoindre les rangs, j’enfile ma combinaison et monte à bord de mon X-WING.
Arrive Only thing pour détendre les guerriers, premier et unique morceaux avec des paroles de l’album, et là encore, rien à reprocher. L’espoir regagne nos coeurs et nous voilà imprégné de poésie.
Avec Crystal B on apprend soudain que Super Violet sait aussi donner dans la funk avec un morceau digne d’un Breakbot réinventé en Dieu des étoiles.
Décidément Rémi Faure (l’humain qui se cache derrière super violet) semble avoir choisi de nous tourmenter entre la guerre intergalactique et l’espoir d’un futur radieux.
Les sons caractéristique des années 80 sont là, on peut aisément citer Space, Hypnosis ou Rockets, l’artiste a du talent et ne se contente pas d’imiter ce qu’il s’est fait, son style se dessine et j’ai déjà hâte d’entendre ses prochaines compositions.
Seul reproche, l’intro brève mais inutile (des voix parlées en echo) du dernier morceau, heureusement le tout gagne rapidement en ampleur et on lui excuse rapidement ce choix!
Le super violet sera assurément une des futurs couleurs de la scène électro pop made in France !